Il existe tout un paradoxe autour de la géobiologie concernant son histoire. Pour beaucoup, c’est une discipline très récente, mise en lumière par des personnages comme Curry ou Hartmann qui ont laissé leur nom à des phénomènes étudiés par les géobiologues (que nous étudierons par la suite) ou par des pollutions récentes comme les ondes électromagnétiques. Pour d’autres c’est une discipline très ancienne connue depuis toujours comme en témoigne le positionnement des lieux de culte.
I – Une discipline très ancienne : la géobiologie sacrée
La géobiologie traitant des phénomènes telluriques (de l’énergie de la terre), il est logique que l’homme l’ai découvert dans les temps plus anciens. Marchant pied nu, il se rend rapidement compte que certains endroits disposent de particularité. Les premiers hommes ne savent peut-être pas leur donner de nom comme nous le faisons aujourd’hui, mais ils constatent certains effets, certaines sensations.
Nous allons évoquer le cas des romains qui nous ont laissé des traces écrites permettant de comprendre la prise en compte de ces phénomènes pour aborder par la suite la présence particulière de ces phénomènes dans les lieux de culte.
A – Des traces visibles avec les romains
A une période où le temps n’était aussi sacralisé qu’aujourd’hui et l’espace disponible plus conséquent, les romains avaient une approche bien différente de la nôtre avant d’implanter une maison. Ils faisaient paitre des moutons pendant quelques mois sur la parcelle concernée. Passé ce délai, ils leur ouvraient les entrailles pour en examiner la substance et ne construisaient leur habitat que si leur état était satisfaisant. Ils avaient bien compris que toutes les surfaces du globe ne se valent pas et que si des moutons peuvent être malades, il en est de même pour l’homme.
B – Des traces visibles dans nos sites religieux
Si les récits sont plus nombreux pour les romains, ils le sont moins pour les monuments liés aux sites religieux pour lesquels nous ne trouvons pas de trace écrite expliquant le choix de leur localisation. Mais leurs implantations ne sont pas sans faire référence à certaines particularité géobiologiques : bienvenu dans la géobiologie sacrée.
1. Les constructions mégalithiques : des hauts lieux énergétiques
Les constructions mégalithiques datent du néolithique. Leurs constructions posent de grandes questions aux scientifiques car on n’imagine pas comment ils ont pu les réaliser avec le si peu d’outils dont ils disposaient. Leur emplacement est encore plus énigmatique : au milieu d’une montagne, sans aucune trace d’habitation… Leurs formes questionnent également : cairn, dolmen, menhir, cromlech…
Sans avoir une réponse certaines sur toutes ces questions, un fait est sûr : ils sont placés sur des endroits particuliers qui regroupent des cours d’eau, des réseaux telluriques et bien d’autres phénomènes qui vont vous être présentés par la suite. Si cette formation n’est pas à proprement parlé un enseignement sur la géobiologie sacrée, vous allez découvrir tous les éléments (des moyens de détection aux phénomènes à rechercher) pour parvenir à comprendre son fonctionnement.
2. Les églises et l’analyse géobiologique
Conseil : si se positionner sur des points énergétiques très forts peut être bénéfique en dose homéopathique. Ils sont à exclure sur le long terme. N’achetez pas une ancienne église pour y vivre. |
Les églises, tant romanes que gothiques, sont placées à certains endroits telluriques particuliers. On découvre que des cours d’eau souterrains se trouvent dans ces monuments. Mais chose encore plus surprenante au premier abord, c’est que les cours d’eau se croisent à un endroit particulier : au niveau de l’hôtel. Et l’analyse géobiologique permet de constater que sur ce même croisement se trouve un vortex ou une cheminée cosmo-tellurique et des réseaux. On comprend alors pourquoi ces constructions se trouvaient souvent sur d’anciens sites mégalithiques.
Le prêtre, durant sa cérémonie, se positionne normalement à cet endroit précis car il va y subir une « force », une « énergie » vraiment unique qui le transforme, pendant un temps limité, en un être qui va rayonner autour de lui.
II – Une discipline nouvelle : les réseaux et les ondes électromagnétiques
Ces traces anciennes peuvent laisser le doute sur ce qui se passe réellement, s’il ne s’agit pas de légendes ou de superstitions. Rentrons maintenant dans une vision plus moderne de la formation géobiologie, à partir du XXe siècle, qui vient l’insérer dans un cadre plus scientifique.
A – La redécouverte des réseaux telluriques
Les réseaux telluriques, comme cela va vous être présenté par la suite, ont été « découverts » ou plutôt redécouverts au XXe siècle. Ces constatations sont d’autant plus réelles et prégnantes dans notre vie que nous sommes maintenant totalement sédentarisés et subissons ces forces sans pouvoir agir (c’est-à-dire changer de lieu). Les noms d’Hartmann et de Curry, les principaux réseaux telluriques étudiés par les géobiologues, ont été mis en lumière après la seconde guerre mondiale et font donc de cette discipline une approche assez moderne.
Mais il ne fait aucun doute que ces éléments ont été découverts bien avant. Pour revenir une dernière fois sur la géobiologie sacrée, vous constaterez ce que certains qualifient « d’anomalie » des réseaux au niveau des églises ou devant les dolmens. On trouve des réseaux qui disposent d’une largeur bien différente de ce qui se fait ailleurs (les fameux carrés de Saturne). Simple coïncidence ?
B – Une nouvelle énergie : les ondes électromagnétiques
Si les réseaux telluriques ont été redécouverts récemment mais ont toujours existé comme le prouve leur localisation dans les lieux sacrés, il existe un phénomène qui classe réellement la géobiologie dans le cadre d’une discipline moderne.
Ce phénomène prend sa source initialement au XVIIIe siècle et de manière généralisé au XXe : l’électricité. La « fée » électricité comme on aime l’appeler peut devenir un véritable fléau dans notre habitat avec une partie de plus en plus importante de la population qui devient électro sensible, c’est-à-dire qui ressent dans son corps l’influence de l’électricité.
A cela s’ajoute depuis la fin du XXe siècle un autre phénomène lié aux ondes électromagnétiques du téléphone portable, réseau Bluetooth ou wifi. Tous ces éléments cumulés créent ce que l’on qualifie d’électrosmog, c’est-à-dire de rayonnement de nombreuse ondes qui démultiplient l’impact pour la santé de l’être humain.
Pour étudier ces phénomènes récents et localisés dans son lieu de vie, le géobiologue va être obligé d’utiliser des appareils de détection modernes.
L’histoire de la géobiologie n’a malheureusement pas laissé de grands noms mais plutôt des constructions relevant la connaissance de ces phénomènes telluriques. Le géobiologue moderne ne va pas chercher ces emplacements pour y construire des monuments mais au contraire comprendre ces phénomènes pour protéger les habitants. Car autant à faible dose les réseaux telluriques peuvent avoir des effets bénéfiques pour la santé, pour remettre en énergie un corps, autant sur une longue période (des mois, des années), il peut être dévastateur.
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